Une toute récente étude menée par l’Europe du Nord, et qui vient d’être publiée dans la revue PLoS Medecine, démontre qu’une simple prise de sang pourrait prédire ou annoncer la mort prochaine d’un individu.
Si cette constatation n’est pas très réjouissante d’un côté, elle peut toutefois s’avérer utile d’un autre, pour sauver des vies.
Dans la volonté de vouloir étudier par résonance magnétique nucléaire la concentration de 106 biomarqueurs (molécules biologiques) dans le sang, ces chercheurs estoniens ont fait la découverte.
9842 échantillons sanguins de personnes âgées entre 18 et 103 ans ont été analysés. Par ailleurs, et après étude des dossiers médicaux, les chercheurs ont constaté que 508 personnes étaient mortes cinq ans après le prélèvement surtout pour des problèmes cardiaques et cancers. Ainsi, les chercheurs ont constaté qu’un ensemble de quatre biomarqueurs semblerait prédire le risque de mourir à court terme.
La même étude a été menée par des chercheurs Finlandais qui ont bien confirmé les résultats de l’étude estonienne.
Ainsi pouvoir lire une pathologie à l’avance est une chance de survie supplémentaire. Cependant le test ne permet pas de prédire la nature de la maladie à craindre.
La mort n’existe pas. Chaque vie existe dans une infinité de mondes multiples qui n’ont ni début ni fin.