Exclus du chômage : Elio Di Rupo répond
Exclus du chômage : Elio Di Rupo répond

Elio Di Rupo, le premier ministre était l’invité du journal de 19 heures de RTL-TVI, et il s’est soumis aux questions posées par Olivier Schoonjans.

L’action du gouvernement qui vise à exclure une dizaine de milliers de personnes au chômage d’ici 2015 a évidemment suscité les principales questions de ce débat…

Elio Di Rupo comprend que de nombreux électeurs du PS soient déçus par de telles mesures, mais il demande également une compréhension pour les solutions qu’il doit trouver.

Le ministre dans ses arguments précise que la volonté du PS est déjà que le travailleur puisse bénéficier de 120 euros de plus net par mois. Ensuite, il rappelle que le PS a été le fondateur de la sécurité sociale et que celui-ci vise à la maintenir. Enfin, Elio Di Rupo rappelle que certaines décisions impopulaires dans les rangs de la gauche, ont été prises aussi, pour contenter la droite avec laquelle le PS partage le pouvoir.

6 Commentaires

  1. La réponse est une excellente réponse de polliticien. Il parle de solution. Avec une vue partielle, cela en est une. Pour le budget global de l’état cela coûtera aussi cher. Le CPAS ou le pénitencier remplace le chômage. Si au pouvoir la gauche doit contenter la droite, sa meilleure place reste l’opposition.

  2. il n’en a rien a foutre lui des exclusions, lui sera toujours tres tres bien payé, c’est lui qu’on devrais virer(exclure)

  3. J’ai écouté attentivement les interventions de MR .Di Rupo pour constater que ce personnage est le prototype du politicien hypocrite qui détourne systématiquement le sujet des questions qui le dérange. Ca fait 20 ans que le PS mène les wallons en bateau et la Wallonie à la faillite avec pareil discours trompeurs! Il est a souhaiter que la majorité des wallons, que le PS prend pour des ignares, s’en souviendra en mai prochain.

  4. ça fait près de 40 ans que le PS nous entube, pratique le clientélisme d’un côté, mais surtout place tous ses petits pions dans les salaires d’administrateurs de ses innombrables ASBL (souvent financé par le gouvernement) ou à la direction de sociétés « quasi publiques » (hello, Tecteo). Sa réponse est à son image: lâche politicienne. Mon Dieu, retirer ces gens du pouvoirs pour quelques années, qu’un parti portant un nom généreux aie le temps de se nettoyer …

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