Afin de repérer les rumeurs infondées qui circulent sur les réseaux sociaux tels que « Twitter » et « Facebook », un projet universitaire de taille est en train de voir le jour. Ce dernier permettra la mise au point d’un nouvel outil nouvelle génération capable de détecter les mensonges. Cinq universités sont partenaires du projet, Sheffield, King’s College London, Warwick en Angleterre, Saarland en Allemagne et l’Université Modul à Vienne. Les entreprises ATOS (Espagne), iHub (Kenya), Ontotext (Bulgarie) et le site Suisse “swissinfo.ch” sont, elles aussi, partenaires de ce projet.
Cet outil pourrait identifier automatiquement et par la source, si l’information est fiable ou non, car grand nombre de fausses rumeurs se répandent et circulent avec parfois des conséquences fâcheuses. L’outil sera capable de prendre l’information et de la transmettre sur l’écran de l’utilisateur, qui saura donc immédiatement si l’information est fiable.
C’est, en tout cas, l’objectif à atteindre pour les chercheurs, faire en sorte que l’outil analyse et capte immédiatement et surtout les spéculations, la controverse, l’information et la désinformation… Le “Times” informe que l’outil pourrait être mis en œuvre dans 18 mois… Affaire à suivre